Il n'est pas de trêve.
Car, fatalement, tout ce qui doit venir advient, même si parfois c'est
bien plus long que ce que nous voudrions, ce que nous pouvons supporter.
Il arrive alors que nous n'aillions d'autre choix que celui, justement, de
devoir choisir.
Alors que faire, rien n'est écrit et nous trouverons toute forme de
positionnement.
Rentrer les épaules est une solution. Il sera toujours un sceau pour y
mettre un peu de sable et sa tête après. Est ce que cela est à juger, peut
être pas. Après tout, qui a réellement de solution. Déjà s'occuper de soi
est pas mal, et il est toujours possible d'y voir une manière de reprendre
un peu de contrôle sur sa vie.
On peut aussi essayer de construire des petites alternatives, souvent en
bataillant contre la capacité que nous avons toutes et tous à nous
dissocier. Il est toujours plus facile de se diviser que de se
rassembler...
Il arrive un jour où l'on cherche une oreille ou une main à portée, où les
sables mouvants se renferment sur nos élans...
L'entropie de nos relations n'engage à rien, rien d'autre que de se
démener à balayer ce satané désert, sans trop d'autre aide que celle que
nous pouvons nous amener.
Ce qui n'est quelque fois pas grand chose, mais par moment ce qui
transforme une apnée en survie...

LeLaboratoireAnarchiste



Un petit sourire avec le Tag tendance sur Twitter : #NousVivonsDansUnMonde

Maxîm ‏@iamMax_i_me 13 h

#NousVivonsDansUnMonde dans lequel certains font du mal alors qu'ils sont eux-même victimes de leur propre mensonge.







Il y a des images qui symbolisent des instants et à la fois des espoirs; en même temps souvenirs d'un passé révolu et désir d'un futur possible à construire; on jongle entre les deux en essayant de temporiser dans un présent que l'on ne maîtrise pas forcement, dont en tout cas l'on ne possède que quelques bouts.
Dans ce présent qui échappe et qui ne se conçoit que comme désir d'avenir, le silence est pour certains plus
confortable que la lutte; c'est tellement facile de se barricader derrière la présomption de la raison et l'arrogance du juste, qu'au final tout ce qui reste c'est de la douleur; la douleur de ce qui est d'abord aimé parce que différent, audacieux, libre et que par la suite et pour les mêmes raisons devient pas supportable.
Devant le pas supportable, le "ce qui énerve et qui dérange " dans la quiétude du compromis, il y en a qui se réfugient dans le silence; parce que il n'y a pas de meilleure arme devant celui qui est entier ou que l'on considère comme tel, que l'absence de réponse, ce qui équivaut au mépris, au mépris qui signifie "tu n'existes pas parce que tu n'obéis pas à mes attentes, tu ne les réconfortes pas, t'es pas tel que je voudrais"; au final t'es pas à la place que l'on t'avait réservé.... et cela est d'autant plus violent que l'on sait qu'il sera absolument blessant......
Luis Cernuda

Si el hombre pudiera decir lo que ama,


si el hombre pudiera levantar su amor por el cielo
como una nube en la luz;
si como muros que se derrumban,
para saludar la verdad erguida en medio,
pudiera derrumbar su cuerpo,
dejando sólo la verdad de su amor,
la verdad de sí mismo,
que no se llama gloria, fortuna o ambición,
sino amor o deseo,
yo sería aquel que imaginaba;
aquel que con su lengua, sus ojos y sus manos
proclama ante los hombre la verdad ignorada,
la verdad de su amor verdadero.

Libertad no conozco sino la libertad de estar preso en el alguien
cuyo nombre no puedo oír sin escalofrío;
alguien por quien me olvido de esta existencia mezquina
por quien el día y la noche son para mí lo que quiera,
y mi cuerpo y espíritu flotan en su cuerpo y espíritu
como leños perdidos que el mar anega o levanta
libremente, con la libertad del amor,
la única libertad que me exalta,
la única libertad por que muero.

Tú justificas mi existencia:
si no te conozco, no he vivido;
si muero sin conocerte, no muero, porque no he vivido.

P.S. thanks to Momo, if he comes here, he'll know why

C'est la chaleur du soleil, le vent qui souffle ou la pluie qui me caresse en ces instants où tout bascule qui me permet de ne pas être l'ombre de moi même. C'est violent comme un fouet qui claque et amène le feu dans l'esprit.. et pourtant je voudrai être là... juste face à la tempête qui menace et qui gronde, là debout sur mes pieds qui me mèneront encore plus en avant vers le lendemain.
Un lendemain où je serai ... Sous la chaleur du soleil, sous le vent qui souffle, sous la pluie qui me console... De tout ce qu'humainement je ne supporte plus...

L'homme

UnFamous Resistenza



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